Le fléau de Stephen King

Quand Stu Redman, "sans doute l'homme le plus tranquille d'Arnette", voit arriver la chevrolet immatriculée dans le Nevada, il ne pense pas qu'elle porte en elle les germes de la fin du monde. Mais ses occupants sont infectés par un virus artificiel, létal à 94,4 %, échappé d'un laboratoire de recherche de l'armée. Stu, Frannie, Nick et d'autres voient le monde mourir autour d'eux, puis des rêves étranges les conduisent vers la mère Abigail, sorte d'ange gardien du temple du bien. Ce n'est qu'une fois réunis que les survivants comprendront que l'horreur est loin d'être terminée, et que le plus dur reste à faire. L'Homme Noir ! Il est partout dans leurs rêves ! A l'affût ! Comment se soustraire à cet oeil de braise ? Dans son demi-sommeil, Stu Redman crève de peur. Et Nick aussi, terrorisé par ce corbeau aux yeux noirs bordés d'un demi-cercle de sang. Dans le tunnel Lincoln, Larry se sait poursuivi. Il court, mais à quoi bon ? Il est derrière lui comme un viseur à infrarouge. Même Nadine le voit dans la chaleur infernale de la Vallée de la mort. Le démon ne faut-il pas appelée sa fiancée ? Face à ce noir Charon, un espoir, peut-être. Mère Abigaël. La plus vieille femme de l'est du Nebraska. Magie, image ou mirage ? Leur seul rempart contre le Promeneur, l'homme sans visage, fléau de Dieu..

Il a l'air trop bien, ce bouquin!

Oui je l'adore!!